mercredi 7 décembre 2011

Cambrai-Visite des serres municipales

Dans le cadre du projet de rénovation du Jardin Public de Cambrai,
une visite des serres de la ville était proposée
 ce mercredi 7 décembre à 15h.


Ces serres sont situées dans la zone d’activités
du marais Cantimpré,
plus précisément rue du Champ-de-Tir.


Elles sont régulièrement ouvertes au public tous les deux ans,
et de préférence au printemps au moment où la saison
d’installation des massifs fleuris est sur le point de s’ouvrir.



Accueil sympa par le responsable des lieux et une employée
répondant avec gentillesse et compétence
 aux questions  bien nombreuses.
 Démonstration de taille d’un rameau pour un bouturage.



 Une main verte leste et experte
 laisse entrevoir
 que l'opération n'a rien
 de compliqué.




Une vingtaine de personnes dont quelques enfants :
l’intérêt était certain et le dialogue fructueux.



Les méfaits de la grêle sur la toiture.



L’arrosage est facilité par le passage
de tuyaux perforés au-dessus des plantes.


Mais le bon vieil arrosoir,
métallique de surcroît,
 reste indispensable.


Dans la serre chaude,
température constante de 20 degrés.






C’est qu’il en faut des plantes
 pour agrémenter les artères de la ville :
 une bonne cinquantaine de personnes y sont employées.


La beauté et renommée du fameux « papillon »,
 fleuron du Jardin Public, 
 dépendent du zèle de ces travailleurs.


Il y a là environ 250 espèces différentes auxquelles
 il faut offrir un environnement vital.



Certaines d’entre elles qui ont voyagé au cours
 de manifestations ont particulièrement souffert.


Pour les sauver, la « chirurgie » est parfois nécessaire.


Un bananier de belle taille parmi beaucoup d'autres.


 D’autres serres non chauffées,
qui sont surtout utilisées au printemps.


Du terreau, certes, mais bien des variétés
adaptées aux spécificités et besoins des plantes.

La « machine »! Devenue indispensable :
 le terreau est déposé à la pelle dans un réceptacle,
acheminé dans le ventre de la machine
pour être déversé dans les godets.

Un trou central marque l’emplacement
 de plantation qu’une main délicate dépose.





Nécessité d’user d’outils et machines performants.

 Un tas de terreau : fabrication « maison ».


A partir des feuilles soigneusement récupérées,
mais pas n’importe où : il faut éliminer
celles qui contiennent papiers, débris de verre,
 voire… seringues, et celles qui renferment
des germes de maladies.


Indispensable le labo : les traitements sont parfois nécessaires,
 mais les dosages sont suivis scrupuleusement.


un lien qui vous emmène aussi dans les serres de la ville :

Aucun commentaire: